La nuit, dormir, c’est quand même pas très amusant. Dessiner, c’est bien mieux (en écoutant de bons films Z).
Pour une fois que le fond est pas juste tout blanc hein. HEIN.
Je vous laisse avec Rolling Bomber Special, parce que je suis retombé dessus tout à l’heure et j’ai bien ri. Ca parle du destin, de têtes qui grossissent, de flèches enflammées et de machines à laver. C’est fait par le monsieur qui a réalisé Kamikaze Girls et c’est donc formidable, voilà.
J’ai calculé.
En ce moment, je passe environ 10h par jour à gagner des sous en dessinant des petites nanas en santiags, 5h à regarder des choses passionantes (comme Important things with Demetri Martin, par exemple), 2h à essayer de faire baisser ma pile de bouquins (pour acheter d’autres bouquins), 2h à dessiner des machins qui ne me font pas gagner de sous, 5h à dormir, 2h à végéter sur mon canapé en écoutant la tonne de musique que j’ai acheté le mois dernier et 2h à jouer.
C’est officiel, mes journées font 28 heures.
Je vous laisse avec Thee Michelle Gun Elephant, parce que c’est bien pratique de connaître le meilleur groupe du monde, vous verrez.
J’aime autant vous dire qu’après un mois sans dessiner le moindre petit croquis (pourtant j’avais acheté un carnet pour gribouiller pendant le voyage, j’étais parti vaillant, mais haha, non en fait, juste non), la reprise se fait un petit peu dans la douleur.
Enfin bon, voilà, parce qu’il fallait bien s’y remettre. Je sais pas trop si c’est une fille ou un garçon. A la base, c’était une fille (I’m Jack’s total lack of surprise), mais il est tard (un peu) et je suis plus trop sûr.
Et sur ce, il est minuit vingt, alors en hommage à quelqu’un qui m’avait bien fait rire avec ça, je vais me préparer un petit déj.
Ha, et pour faire plaisir à Maïa (qui fait rien qu’à réclamer) :
(et d’autres en cliquant juste là-dessous, pour celles et ceux qui ne sont pas encore lassés)
Avant que le décalage horaire du retour ne fasse un méchant german supplex sur ma gueule, hop, un dernier petit batch de photos. Ce ne sont pas les plus jolies, mais je les aime bien.
(ça continue en cliquant là-dessous)
(d’autres après le jump)
Sinon, on a croisé Ein (les amateurs apprécieront).
Et sur ce, 7h, je retourne boire de l’umeshu… Enfin bon, vous voyez le principe.
A bientôt les amis!
Soit 11h20 d’avion. Ca valait déjà le coup (comme dans “je rentre en France, j’embarque mes affaires et je reviens vivre ici”).
(la suite en cliquant)
Je ne sais absolument pas si je reposterai d’ici dimanche prochain, donc j’en profite: le blog va s’autoriser une petite pause, le temps d’un petit séjour de trois semaines quelque part entre Tokyo, Osaka et Kyoto (et Nara). Oui, je sais, je me détesterais aussi.
J’en profite au passage pour saluer mon unique lecteur/trice japonais(e), dont je me suis souvent demandé qui il/elle était; salut à toi, donc.
A part ça, ‘Seules au bout de 23 secondes’, le dernier album de Mansfield.TYA, est sorti et sans grande surprise il est absolument merveilleux. ‘Dans mes yeux’, le dernier livre de Bastien Vivés aussi (dans le sens “il est sorti aussi et il est absolument merveilleux aussi”).
Sur ce, paix et bol de riz sur vous, et à bientôt les amis.
Je vous laisse avec Mansfield.TYA, tiens, d’ailleurs, parce que non, vraiment, c’est formidable.
“A metric fuck-ton.
-Then you should stop, it’s giving you Tourette’s.”
A part ça, j’ai bidouillé un site pour avoir quelque chose d’un peu plus sérieux (haha) que le blog. C’est du brouillon, à peu près aussi définitif que l’expansion de l’univers, mais ça a le mérite d’exister (je crois).
Bref. Ca s’appelle cake or death, et ça se trouve là:
Je vous laisse avec Interpol, parce que ça repose.
Evidemment, The Life Aquatic en fond, ça influence un tout petit peu les images.
Steve Zissou est mon héros, je l’aime d’amour.
Je vous laisse avec Chopin, parce que j’adore la façon dont les anglais prononcent son nom.
A part ça, j’ai une petite image sélectionnée six petites images sélectionnées pour le troisième artbook de cfsl (c’est papa et maman qui vont être fiers).
Je vous laisse avec Godspeed you! Black Emperor, parce que parfois c’est bon de fermer les yeux et de s’étendre sur un canapé pendant vingt minutes et quarante-deux secondes tu sais, ma chérie.
Oui c’est très vite fait, mais j’avais envie d’un chat, d’un bouquin et de collants rayés. So there.
A priori, puisque la couverture est orange, et que j’ai un seul bouquin à couverture totalement orange dans ma bibliothèque (et que la fille sur l’image a probablement la même bibliothèque que moi), elle doit lire The hollow chocolate bunnies of the apocalypse, de Robert Rankin.
Pas un mauvais choix, on ne se fait pas arnaquer sur le contenu (il y a bien des lapins, du chocolat et une apocalypse), mais le livre n’est quand même pas totalement à la hauteur de son titre. J’étais un peu déçu.
Pour une apocalypse vraiment festive et réussie, on peut plutôt lire Good Omens je pense (et le relire)(et le relire).
A part ça, ce week-end on m’a fait découvrir Courtney Crumrin et ça ouvre des mers en deux comme Moïse tellement c’est bien.
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