“Je vous vois mes p’tites cailles.”
C’était à l’entrée du musée. Quand on est ressorti, on avait tranquillement traversé quelques siècles. Lui n’avait pas bougé d’un millimètre.
Il y avait probablement une leçon de vie formidable (et un peu cocasse aussi) à grapiller là-dedans. Mais nous, on avait faim, alors on est plutôt parti manger.
J’aime autant vous dire qu’après un mois sans dessiner le moindre petit croquis (pourtant j’avais acheté un carnet pour gribouiller pendant le voyage, j’étais parti vaillant, mais haha, non en fait, juste non), la reprise se fait un petit peu dans la douleur.
Enfin bon, voilà, parce qu’il fallait bien s’y remettre. Je sais pas trop si c’est une fille ou un garçon. A la base, c’était une fille (I’m Jack’s total lack of surprise), mais il est tard (un peu) et je suis plus trop sûr.
Et sur ce, il est minuit vingt, alors en hommage à quelqu’un qui m’avait bien fait rire avec ça, je vais me préparer un petit déj.
Ha, et pour faire plaisir à Maïa (qui fait rien qu’à réclamer) :
(et d’autres en cliquant juste là-dessous, pour celles et ceux qui ne sont pas encore lassés)
Avant que le décalage horaire du retour ne fasse un méchant german supplex sur ma gueule, hop, un dernier petit batch de photos. Ce ne sont pas les plus jolies, mais je les aime bien.
(ça continue en cliquant là-dessous)
(d’autres après le jump)
Sinon, on a croisé Ein (les amateurs apprécieront).
Et sur ce, 7h, je retourne boire de l’umeshu… Enfin bon, vous voyez le principe.
A bientôt les amis!
Soit 11h20 d’avion. Ca valait déjà le coup (comme dans “je rentre en France, j’embarque mes affaires et je reviens vivre ici”).
(la suite en cliquant)
Je ne sais absolument pas si je reposterai d’ici dimanche prochain, donc j’en profite: le blog va s’autoriser une petite pause, le temps d’un petit séjour de trois semaines quelque part entre Tokyo, Osaka et Kyoto (et Nara). Oui, je sais, je me détesterais aussi.
J’en profite au passage pour saluer mon unique lecteur/trice japonais(e), dont je me suis souvent demandé qui il/elle était; salut à toi, donc.
A part ça, ‘Seules au bout de 23 secondes’, le dernier album de Mansfield.TYA, est sorti et sans grande surprise il est absolument merveilleux. ‘Dans mes yeux’, le dernier livre de Bastien Vivés aussi (dans le sens “il est sorti aussi et il est absolument merveilleux aussi”).
Sur ce, paix et bol de riz sur vous, et à bientôt les amis.
Je vous laisse avec Mansfield.TYA, tiens, d’ailleurs, parce que non, vraiment, c’est formidable.
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